3 décembre 2006

L'élection de Stéphane Dion: un accès d'idéalisme atypique


James Travers, chroniqueur au Toronto Star, hits the nail on the head (comme disent les Anglais) dans cyberpresse.ca d'aujourd'hui:
Dans un accès d'idéalisme atypique, les libéraux ont fait de Stéphane Dion leur nouveau chef et renversé la politique fédérale.
Mettons que les libéraux fédéraux ne sont pas reconnus pour leur idéalisme. C'est probablement ce qui rend aussi surprenante l'élection de Stéphane Dion comme chef du PLC.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Marc,
je fais partie des nouveaux liberaux qui se se joint au parti pour le renouveller. Croyez moi: on est PLEIN d'idealisme, nous les jeunes! ('jeune' = age moins de 35 ans)

Anonyme a dit...

Marc,

Aux prochaines élections fédérales, nous devrons donc choisir entre Stéphane Dion et Stephen Harper ? Effectivement, je partage ton avis de croire que ce sera tout à l'avantage des conservateurs; au plus grand dam des anti-conservateurs québécois...Quand je regarde le paysage politique canadien qui se dessine à l'horizon, j'ai ai froid dans le dos... Je suis bien déçue, M. Ignatieff est tellement plus "worldly", cultivé et sexy que Dion!!! Les libéraux viennent de rater leur chance de recruter des partisanes parmi les canadiennes.... Selon moi, un énorme pas vers l'arrière, et j'adhère à la théorie de Wells qui dit que "For any given set of circumstances, Canadian politics tends toward the least exciting possible outcome..." Ignatieff était le choix prévu, mais bien trop "excitant"...non non, choisissons le candidat "least exciting..." Eh bien, chapeau, les libéraux : mission accomplie!