Une entrevue donnée à la Canadian Press la semaine dernière a été reprise notamment dans canada.com, dans le Ottawa Citizen, dans le Winnipeg Free Press (pour lequel je ne trouve pas de lien) et dans le Montreal Gazette.
Quelques citations:
“Political parties will have to blog or risk irrelevance,” says Marc Snyder, a communications consultant and himself the author of the popular blog emm-ess consultants.(...)Je suis aussi cité dans cet article de Jérôme Plantevin dans le journal Les Affaires.
But embracing new media doesn’t come without risks for Quebec’s old-guard politicians reared on kissing babies and the staged photo-op.
“Working with blogs, you have to take a leap of faith,” says Snyder, who is also a former organizer for the Action democratique du Quebec. “You have to admit that you will not control your message the way you could control your message in past elections.
“That’s just not something that comes naturally to political parties.”(...)
Snyder thinks Quebec’s bloggers are still playing catch-up with their U.S. counterparts.
“I think that the role that blogs and social media will play is relatively minor,” he said in a phone interview. “I don’t think that our blogosphere is mature enough to play an important role.”(...)
All this doesn’t bode well for the dinosaur elements of Quebec’s political parties, whose efforts to “get with it” leave Snyder unimpressed.
“The political parties in Quebec are not taking the steps that should be taken in order to profit from this total change in how communications are going to work over the next few years,” he says.
After all, in the new frontier of Quebec politics, a party’s message may no longer be theirs to control.
Quelques citations:
Mise à jour: Je ne trouvais pas le lien vers l'émission de Désautels à la radio de Radio-Canada où je suis cité par Janic Tremblay. Le voici.Dans la plupart des pays occidentaux, Internet est considéré comme une plateforme importante pour diffuser un message et joindre un grand nombre de personnes durant une campagne électorale.
"Au Québec, pour le Parti libéral (PLQ), le Parti québécois (PQ) et l'Action démocratique du Québec (ADQ), cela ne semble pas être le cas si on se fie aux premiers jours de la campagne", constate Marc Snyder, consultant en communications et spécialiste des relations publiques et des médias sociaux.
Le 21 février, bien que la date du déclenchement ait été connue depuis plusieurs semaines, les nouvelles versions des vitrines Web des trois grands partis n'étaient pas en ligne. Quand c'était le cas, plusieurs sections ne fonctionnaient pas. "C'est totalement inacceptable et inexplicable qu'ils n'aient pas été prêts", soutient M. Snyder.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire