31 juillet 2011

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24 juillet 2011

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22 juillet 2011

Arrêtons de parler de stratégies de médias sociaux

Les médias sociaux composent une culture, une destination; pas seulement une stratégie.

On ne devrait pas se demander seulement Quelle est ma stratégie des médias sociaux? mais aussi, et surtout, Comment puis-je faire de ma marque une marque plus sociale? 

Les médias sociaux représentent un canal de communication, un endroit de rencontre entre des individus ou entre des individus et des institutions (entreprises, gouvernements, groupes d'intérêts, etc.). La communication, elle, demeure un échange de message et, si on veut couper les cheveux en quatre, les mécanismes de transmission de ces messages.

L'objectif devrait de rendre plus sociale la communication.

Quand j'entends des gens dire qu'ils veulent augmenter leurs nombres d'abonnés sur Twitter ou d'amis sur Facebook, je dois me mordre le dedans des joues pour ne pas hurler. Le nombre d'abonnés ou d'amis n'est pas une mesure de succès!

Si c'était le cas, Charlie Sheen pourrait se féliciter de ses succès!

L'autre sujet qui me fait crier ces jours-ci, ce sont les gens qui disent qu'on peut se limiter aux médias sociaux. À mon avis, ce n'est pas vrai. Les médias sociaux sont utiles, j'irais même jusqu'à dire incontournables, mais ils ne sont pas la panacée universelle.

Les médias sociaux font partie d'un mix-marketing.

Mais le caractère social d'une marque c'est quelque chose qui peut être imbriqué dans toutes les facettes de la stratégie de communication. Comment rendre plus sociales les communications internes? Comment rendre plus sociales les commandites? Comment rendre plus sociales les relations de presse? Comment rendre plus social le service à la clientèle? Comment rendre plus social notre site Internet?

Voilà les questions que, j'espère, nous entendrons de plus en plus souvent.


21 juillet 2011

Marshall McLuhan aurait 100 ans aujourd'hui

Il est cité ici en train de faire une prédiction sur notre connectivité via «electronic circuitry» pendant l'émission de Take 30 (à la CBC) du 1er avril 1965.




 

20 juillet 2011

Quel est le plus important des médias sociaux?

Facebook et Twitter sont importants, mais c'est LinkedIn qui est le plus important... selon les internautes utilisateurs de médias sociaux.

C'est l'une des conclusions de l'étude The S-Net (A Study in Social Media Usage & Behavior) publiée par ROI Research et commanditée par Performics (une filiale du Groupe Publicis).

C'est Facebook qui est le plus fréquemment visité (70% des répondants visitent Facebook quotidiennement versus 20% qui visitent LinkedIn quotidiennement). Mais à la question «Quel est le site sur lequel c'est le plus important d'avoir un profil?», LinkedIn est celui qui mène avec 59% des répondants (versus 41% l'an dernier).

Cette augmentation de 43% (de 41% à 59%) me semble représentative de la situation au Québec. Et vous?

P.-S. Mon profil sur LinkedIn est ici. N'hésitez pas à m'ajouter à vos contacts.

N.-B. Le sondage compte 2 997 répondants.

18 juillet 2011

Bannir les médias sociaux au travail, c'est contre-productif!


La majorité des PME américaines interdisent l'usage personnel des médias sociaux au travail (en fait 62%), selon une étude réalisée par la firme américaine de sécurité Panda (un fournisseur de produits antivirus). 

Je reconnais des risques à l’utilisation des médias sociaux au travail : productivité réduite, introduction éventuelle de virus dans le système, coût de la bande passante, etc. Mais j’affirme que, malgré ces risques, c’est là une décision contre-productive.

Avec l'avènement des ordinateurs personnels à la maison et l’augmentation fulgurante de l'utilisation des téléphones intelligents, nous utilisons nos interfaces avec Internet partout. Tout le temps. Et on s’améliore sans arrêt.

Dans ce contexte, les technophiles et, à plus fort titre leurs enfants,  ont de la difficulté à comprendre (et à accepter!) que leur lieu de travail ne fonctionne pas comme dans la «vraie» vie. Parce l’accès à Internet et aux médias sociaux, ça fait partie de la vraie vie.

La différence entre le travail et partout ailleurs, c'est que, au travail, nous sommes limités dans nos choix numériques. Nous sommes limités par la capacité d'investissement de l’entreprise, ses exigences de formation, ses choix technologiques et ses préoccupations de sécurité. Dans notre vie à l’extérieur du travail, nous surfons avec nos navigateurs et interfaces préférés, nous utilisons Google pour effectuer des recherches, nous partageons des photos sur Flickr et des vidéos sur YouTube, nous mettons des gens dans des Cercles sur Google+, nous avons des amis sur Facebook, nous avons des contacts sur LinkedIn et nous suivons l'information sur Twitter. Mais dans notre vie professionnelle, les mêmes options ne nous sont pas données. L'accès nous est refusé lorsque nous installons certains logiciels (et même des mises à jour) ou visitons certains sites.

Les organisations devraient reconsidérer ces restrictions et de les comparer aux opportunités présentées. C'est économiquement absurde de ne pas accepter de telles pratiques dans le milieu de travail en se basant sur le fait que nous avons acquis de tels outils pour échanger, partager, discuter, socialiser, de recherche, jouer, apprendre ou acheter. Alors pourquoi ne pouvons-nous regarder le profil de notre collègue ou rechercher une publication ou un document aussi facilement au bureau comme nous le ferions à la maison?

Une nouvelle fracture numérique pourrait survenir entre les utilisateurs «professionnels» et «personnel». Pour la première fois de la (courte) histoire du numérique, les véritables innovations proviennent d'une utilisation personnelle. Combien d'entre vous gérez votre agenda sur votre téléphone parce que c'est plus pratique, sans aucun moyen de le synchroniser avec votre ordinateur de bureau? Combien utilisez les services d'échange de fichiers tels que Dropbox à des fins professionnelles parce que votre compagnie limite la taille des fichiers à échanger?

C'est maintenant aux entreprises de trouver des façons novatrices de gérer l'utilisation «personnelle» des dispositifs en entreprise. C'est une situation gagnant-gagnant. 

17 juillet 2011

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15 juillet 2011

Athlètes et médias sociaux


Le CIO a adopté des règles encourageant l’utilisation des média sociaux par les athlètes participant aux Jeux olympiques de Londres l’an prochain (document PDF). Quelques encadrements sont tout de même imposés dont:

  • une restriction quant à l’utilisation de médias sociaux à des fins commerciales: la promotion de marques, de produits et de services est spécifiquement interdite;
  • les athlètes devraient s’exprimer au «je» et non comme un tiers/journaliste;
  • les athlètes et autres personnes accréditées ne peuvent pas produire des vidéos ou des capsules audio des événements sportifs;
  • les athlètes ne doivent pas commenter les performances des autres athlètes (négativement, s’entend);
  • des images ou des mots vulgaires ou obscènes sont proscrits.
J’aime beaucoup la philosophie qui sous-tend cette façon de faire: on traite les athlètes comme des adultes et on les encourage à s’exprimer. Et le CIO prend ses responsabilités à l’endroit des organisateurs des jeux, de leurs commanditaires et de leurs partenaires en télédiffusion.

Qu’en est-il dans les autres sports? La NFL, la NBA et la LNH n’ont pas de règles écrites sur l’utilisation des médias sociaux.

La NFL proscrit l’utilisation des médias sociaux pendant la période qui commence 90 minutes avant un match et se termine avec la fin de la période d’entrevues post-match depuis 2009 mais est silencieuse pour le reste et notamment sur le contenu. Certains clubs vont plus loin.

La NBA interdit l’utilisation des appareils permettant d’accéder aux médias sociaux à partir de 45 minutes avant un match jusqu’à l’ouverture des portes des vestiaires suite aux entrevues avec les médias traditionnels.

La LNH est en réflexion (depuis plus de 2 ans!) même si plus de 80 joueurs ont des comptes Twitter.

Comparons ça avec la UFC. Dana White donne énormément de crédit aux médias sociaux dans la croissance de l’organisation. Le message qu’il a lancé à ses athlètes:  “I want you to Twitter your asses off”. Est-ce assez clair?

La UFC est allée encore plus loin ce printemps en annonçant un budget de 240 000 $ en bonus à être versé à ses athlètes qui utilisent Twitter. Si je n’aime pas tellement la façon dont ces bonus seront attribués, je ne peux qu’applaudir au fait qu’on les encourage à tisser des liens plus forts entre les athlètes et les fans.

10 juillet 2011

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3 juillet 2011

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